Orienter son enfant vers un CAP ?

En classe de 3ème, les élèves doivent réfléchir à leur projet d’orientation et décider quelle voie suivre après le collège. Plusieurs options s’offrent à eux : intégrer une seconde générale, une seconde professionnelle ou se diriger vers un apprentissage. Cette dernière solution constitue une option judicieuse pour certains élèves. Comment savoir si le CAP est un choix d’orientation adapté à son enfant ? Quels sont les éléments à connaître sur ce diplôme et les domaines d’activité concernés ? Nos réponses ici.

 

Le CAP : l’essentiel à connaître sur le cursus et les spécialités existantes

Le Certificat d’Aptitude Professionnelle est un diplôme qui se prépare en deux ans. Il s’agit d’un cursus qui permet d’apprendre un métier et d’obtenir une qualification en vue d’intégrer le marché du travail.

La formation s’effectue dans les centres de formation des apprentis et dans les lycées professionnels. Il est possible de passer un CAP dans de nombreux secteurs d’activité : l’artisanat, la vente, la restauration, l’esthétique, etc.

Chaque domaine se divise en différentes spécialités. Par exemple, un élève qui souhaite s’orienter vers l’artisanat pourra apprendre les métiers de :

  • Menuisier ;
  • Maçon ;
  • Plâtrier-plaquiste ;
  • Peintre, etc.

On peut même se former aux métiers de bouche comme pâtissier, boulanger ou charcutier-traiteur.

Quelle que soit la voie choisie, la formation alterne des périodes de cours en établissement (CFA ou lycée professionnel) et des périodes d’apprentissage en entreprise. L’élève possède alors le statut d’apprenti et perçoit une rémunération.

 

Dans quels cas orienter son enfant vers un CAP ?

Il peut paraître difficile pour les parents de déterminer quelle sera la meilleure voie à privilégier pour son enfant. Certains élèves montrent très tôt un intérêt pour un métier ou un domaine qui les passionnent. Mais en général, les collégiens ne savent pas précisément quelle orientation choisir après la 3ème.

Le CAP se présente comme une alternative intéressante pour ceux qui ne se sentent pas prêts à s’engager dans de longues études. Il s’agit également d’une excellente option pour les adolescents qui désirent découvrir un métier en particulier et intégrer rapidement le monde professionnel.

L’obtention d’un CAP débouche généralement sur l’insertion dans la vie active. Les jeunes diplômés disposent d’un niveau de qualification suffisant pour exercer le métier appris. S’ils le souhaitent, ils peuvent aussi se spécialiser ou poursuivre leurs études en préparant un bac pro ou un brevet professionnel.

 

Pour accompagner au mieux son enfant dans cette étape, les parents peuvent s’appuyer sur l’aide de spécialistes. Anacours est partenaire du réseau Ton Avenir, qui regroupe des conseillers en orientation qualifiés.

Réfléchir à son projet d’orientation dès la classe de première

Si la saisie des vœux d’orientation s’effectue qu’en classe de terminale, il est préférable de songer à son avenir dès la première. Certains élèves possèdent déjà une idée précise du métier qu’ils souhaitent exercer. D’autres semblent parfois plus indécis et peinent à faire leur choix parmi les multiples options qui s’offrent à eux. C’est pourquoi nous conseillons aux lycéens de réfléchir à leur projet d’orientation en classe de première.

Pourquoi est-il important de penser à son projet d’orientation dès la première ?

Médecine, droit, gestion, éducation, etc. Quel que soit le secteur vers lequel ils envisagent de se diriger, les lycéens disposent d’une multitude de parcours possibles. Les bacheliers pourront intégrer un cursus court, afin d’obtenir un diplôme en deux ou trois ans par exemple (BTS, DUT, BUT, etc.). Ils auront aussi la possibilité de suivre une formation en alternance s’ils souhaitent se professionnaliser. Enfin, ils projetteront peut-être d’intégrer une faculté pour viser un master, voire un doctorat.

Face aux nombreuses options existantes, il s’avère préférable de bien préparer son plan d’orientation. En s’y intéressant dès la classe de première, les élèves peuvent ainsi prendre le temps de comparer les différentes alternatives. Ils pourront déterminer quels seraient les domaines d’activité dans lesquels ils aimeraient évoluer. Ils réfléchiront aussi au type de cursus à privilégier en fonction de leurs compétences et du métier visé.

Par ailleurs, cela les aidera à choisir quelles spécialités conserver en terminale. En effet, sur les trois enseignements de spécialité étudiés en première, ils devront n’en garder que deux pour l’année suivante.

 

Comment préparer son orientation post-bac ?

Préparer son avenir en s’interrogeant sur son projet d’orientation représente une étape majeure dans la vie d’un lycéen. Les élèves disposent de plusieurs solutions pour les guider dans cette épreuve :

  • S’entretenir avec un conseiller d’orientation ;
  • Aller à la rencontre de professionnels ;
  • Se rendre dans les salons dédiés à l’orientation ;
  • Profiter des journées portes ouvertes des établissements universitaires pour recueillir plus d’informations sur les cursus proposés.

Les futurs bacheliers ont également à leur disposition différents outils et ressources pour les aiguiller. Le site de l’Onisep offre un grand nombre de renseignements sur les formations existantes, les diplômes, les métiers, etc. De même, la plateforme Parcoursup permet aux lycéens d’obtenir des infos utiles sur les études supérieures, les parcours possibles et les établissements.

Par ailleurs, Anacours a établi des partenariats avec des conseillers d’orientation qualifiés, en particulier avec les professionnels du réseau Ton Avenir.  Leur rôle consiste à accompagner les collégiens et les lycéens de manière personnalisée pour les guider dans leur projet d’orientation.

Quelles spécialités garder en terminale ? Comment choisir ?

Dès la seconde, les lycéens doivent réfléchir à leur orientation, afin de choisir les trois enseignements de spécialité qu’ils étudieront en première. Puis, ils devront éliminer une de ces matières l’année suivante pour n’en conserver que deux en terminale. Quels critères prendre en compte pour faire cette sélection ? Comment savoir quels enseignements de spécialité garder en terminale pour assurer son avenir ? Anacours répond à vos questions.

 

 

Réfléchir à son projet d’orientation pour choisir ses spécialités de terminale

Le choix des spécialités constitue une étape délicate pour les élèves de première. Parmi les trois enseignements sélectionnés en seconde, ils doivent en éliminer un pour leur dernière année avant le bac. Cela nécessite de faire le point sur leurs envies et sur leurs perspectives d’orientation. Dans l’idéal, ils devront préserver les enseignements de spécialité susceptibles de correspondre le plus au parcours envisagé. Ils pourront aussi tenir compte de leurs affinités avec les différentes disciplines, ainsi que du niveau acquis dans chacune d’elles.

Certaines matières sont vivement recommandées en fonction du cursus visé. Un lycéen qui souhaite se diriger vers le secteur de la santé devra conserver la spécialité SVT. Mais, les mathématiques et la physique-chimie constituent également des choix pertinents. Par conséquent, il peut paraître délicat d’éliminer une discipline au profit d’une autre. L’option idéale dans ce cas reste de privilégier les deux enseignements dans lesquels l’élève obtient les meilleurs résultats. Cela lui permet d’augmenter ses chances de réussite au baccalauréat, tout en acquérant les connaissances requises pour intégrer la formation voulue.

 

Se renseigner sur les attendus pour chaque formation visée

Le choix des deux spécialités à garder en terminale dépend également des attendus spécifiques au cursus que l’élève souhaite suivre. Sur Parcoursup, les lycéens ont la possibilité d’obtenir des informations précises sur les différentes formations. Chaque établissement détermine quelles sont les connaissances requises pour intégrer un parcours ou réussir dans une voie. Les élèves peuvent s’aider de ces éléments afin de conserver les enseignements qui les amèneront à développer les compétences nécessaires.

L’intérêt de la réforme du bac et de la mise en place des spécialités, c’est aussi de valoriser la diversité des profils. S’il est recommandé de choisir une spécialité en lien avec le cursus visé, il s’avère aussi pertinent d’étudier une matière complémentaire. Le site Horizons 21 permet de tester les différentes combinaisons possibles.

Avec l’aide d’un enseignant Anacours, l’élève définira ses objectifs afin de déterminer quelles seront les spécialités à conserver en terminale. Si vous avez besoin de conseils spécifiques concernant le projet d’orientation de votre enfant et sa poursuite d’études, nous avons mis en place des partenariats avec des conseillers d’orientation, notamment avec le réseau Ton Avenir qui pourront vous accompagner. Si vous êtes intéressé, contactez votre agence Anacours.

Qu’est-ce que le plagiat dans ses devoirs ?

Le numérique constitue un véritable progrès pour les élèves. Qu’ils soient collégiens, lycéens ou étudiants, l’accès à internet simplifie leur travail, notamment pour les exercices nécessitant des recherches. Mais, si le web offre une immense quantité de ressources aux élèves, il s’accompagne d’un inconvénient majeur : il facilite le plagiat. Un réel fléau pour les professeurs, ainsi que pour les étudiants qui s’exposent à des risques. Comment se traduit le plagiat dans les devoirs et comment l’éviter ? Voici nos explications.

 

Le plagiat : qu’est-ce que c’est ?

Il existe différentes formes de plagiat, par conséquent il peut paraître délicat pour un élève de comprendre cette notion. Si certains d’entre eux copient volontairement un auteur pour gagner du temps, d’autres commettent l’erreur, car ils ne connaissent pas les règles.

On parle de plagiat dans un devoir lorsque l’étudiant s’approprie les idées d’une autre personne et les retransmet sans citer ses sources. Copier-coller un texte dans son ensemble ou en partie, reprendre un contenu en le paraphrasant, insérer une citation sans mentionner l’auteur, etc. Toutes ces pratiques sont considérées comme du plagiat.

Pourquoi faut-il absolument éviter de faire du plagiat dans ses devoirs ?

Les élèves de collège, de lycée et les étudiants peuvent être tentés par ce procédé par manque de temps ou d’inspiration. Or, le plagiat est assimilé à une violation de la propriété intellectuelle. Ils doivent donc prendre conscience des risques et des sanctions auxquelles ils s’exposent. Les conséquences peuvent être plus ou moins importantes selon les cas (annulation de l’épreuve, exclusion temporaire ou définitive, etc.).

Outre les punitions encourues, cela impacte les progrès de l’élève. Le fait de copier-coller un contenu ou de reprendre une idée va l’empêcher de développer son propre esprit analytique et de synthèse. Il n’utilisera pas ses connaissances pour les mettre à profit et le professeur ne sera pas en mesure d’évaluer ses acquis. À terme, un élève qui choisit de reproduire l’œuvre d’un autre par facilité accumulera les lacunes.

Comment limiter les risques de plagiat dans ses travaux écrits ?

Si certains élèves insèrent délibérément des passages plagiés dans leurs dissertations, d’autres le font par inattention. Les professeurs-documentalistes enseignent aux enfants les bonnes pratiques à appliquer lorsqu’ils effectuent des recherches, dès l’entrée au collège. Les élèves étudient les règles de citation, les méthodes pour trouver des sources fiables, la prise de notes, etc.

Pour éviter le plagiat involontaire, il est important de savoir quand et de quelle manière citer une source. L’élève doit également apprendre à reformuler correctement, sans copier ni paraphraser les idées ou l’analyse d’une autre personne.

Anacours fournit des solutions pour accompagner les élèves dans leur scolarité. Les cours à domicile ou les stages intensifs peuvent être l’occasion de travailler sur l’utilisation des sources dans les devoirs.

Parcoursup : il n’y a pas que les notes qui comptent

À partir de janvier, les lycéens et les étudiants en réorientation, désirant s’inscrire en première année d’études supérieures, pourront formuler leurs vœux sur Parcoursup. Ils devront pour cela monter un dossier contenant les relevés de notes et les appréciations des professeurs. Mais ils auront également à argumenter leurs souhaits en rédigeant un projet de formation motivé. Facultatives, les rubriques dédiées aux centres d’intérêt et aux activités extrascolaires détiennent aussi leur importance. On vous explique comment mettre ces éléments en valeur pour augmenter vos chances d’être accepté dans le cursus visé.

 

Le projet de formation motivé : qu’est-ce que c’est ?

Le projet de formation motivé est l’équivalent de la lettre de motivation. Il se présente sous forme d’un court paragraphe et se rédige sur la plateforme Parcoursup, dans l’encart prévu à cet effet. Le principe : justifier le choix d’un cursus et démontrer qu’on possède les compétences requises pour l’intégrer.

Les élèves devront respecter plusieurs consignes de rédaction :

  • Le contenu ne doit pas dépasser 1 500 caractères, soit 200 à 250 mots environ ;
  • Le texte devra se composer d’une brève introduction, du développement et d’une phrase de conclusion ;
  • Les intitulés de formation devront être écrits correctement.

Par ailleurs, les lycéens et les étudiants en réorientation auront la possibilité de formuler plusieurs vœux. Chaque souhait devra s’accompagner d’un projet de formation motivé unique. On évite d’utiliser le même texte pour chaque proposition et on adapte son contenu en fonction des particularités du cursus ou de l’établissement sollicité.

L’élève explique alors pourquoi il désire rejoindre la formation visée par rapport aux objectifs poursuivis et à son projet professionnel. Il fait également le lien entre ses compétences, ses aptitudes et les prérequis attendus pour intégrer le parcours espéré.

 

Pourquoi compléter la rubrique concernant les activités extrascolaires et les centres d’intérêt sur Parcoursup ?

Le dossier candidat sur Parcoursup comporte aussi une rubrique facultative dédiée aux activités et aux centres d’intérêt. Si cela n’est pas obligatoire, remplir cette partie constitue un bon moyen de se démarquer. Les élèves peuvent en profiter pour mettre en avant leurs expériences personnelles :

  • Emplois saisonniers ;
  • Bénévolat ;
  • Engagement citoyen ;
  • Activités sportives et artistiques, etc.

Loisirs, expériences professionnelles, passions ; toutes ces infos renseignent sur la personnalité d’un élève, ses qualités et ses aptitudes. L’objectif : se distinguer des autres candidats en valorisant son profil.

La procédure de saisie des vœux sur la plateforme Parcoursup débute en janvier et se termine en mars. Les élèves doivent absolument respecter les délais et ne pas attendre le dernier moment pour constituer leurs dossiers de candidature.

Anacours se tient au côté des lycéens en proposant des solutions d’accompagnement adaptées à leurs besoins. Les cours particuliers à domicile permettent de mettre toutes les chances de son côté tout au long de l’année. Par ailleurs, nous avons des partenariats avec des conseillers d’orientation, notamment avec le réseau Ton Avenir, pour accompagner nos élèves de lycée et de terminale, dans leur projet d’orientation.

La philosophie en terminale

Dernière ligne droite avant les épreuves du baccalauréat, la terminale constitue une étape majeure dans la scolarité d’un élève. Durant cette année, les lycéens se préparent à l’examen, songent à leur orientation et découvrent également une nouvelle matière : la philosophie. Pourquoi cette discipline vient-elle s’intégrer au programme de terminale ? Quelles sont les notions étudiées et quels en sont les objectifs ? Voici l’essentiel à connaître pour comprendre l’utilité de la philosophie en terminale.

 

Pourquoi suit-on des cours de philosophie en terminale ?

Dès leur entrée en terminale, les lycéens vont suivre un nouvel enseignement, celui de la philosophie. Cette matière fait l’objet d’une épreuve finale comptant pour l’examen du baccalauréat. Plus que d’apporter des connaissances sur l’histoire et les doctrines philosophiques, l’enjeu de cet enseignement est de développer l’esprit critique de l’élève. À travers l’étude de diverses œuvres, l’étudiant apprend à analyser et à confronter des idées, des notions. Il s’exerce à fonder son propre jugement et à l’exprimer clairement à l’oral comme à l’écrit.

La philosophie amène les lycéens à s’ouvrir aux autres et à gagner en maturité. Ils améliorent leur sens critique et leur perception des choses. Ainsi, l’étude de cette discipline leur sera utile dans plusieurs matières, ainsi que dans leur vie future.

 

Philosophie au lycée : quelles sont les notions étudiées ?

Le programme de philosophie en terminale s’articule autour de trois grands axes :

  • L’existence humaine et la culture ;
  • La morale et la politique ;
  • La connaissance.

Les notions que les élèves étudient en classe se rapportent toutes à l’une de ces thématiques. Chaque professeur de philosophie dispose d’une grande liberté pédagogique puisqu’il choisit les sujets sur lesquels il désire travailler avec ses élèves. Toutefois, les objets d’étude doivent être en lien avec les dix-sept notions incluses au programme. Les élèves abordent par exemple les thèmes de la conscience, de l’inconscient, de la justice ou du bonheur.

Les cours s’appuient sur l’analyse d’œuvres philosophiques correspondant à trois périodes de l’histoire :

  • l’Antiquité et le Moyen-Âge ;
  • La période moderne ;
  • La période contemporaine.

Le programme de philosophie en terminale prévoit une liste de plusieurs auteurs de chaque époque.

 

Philosophie : quels sont les attendus en fin de terminale ?

Les travaux menés en philosophie durant l’année aideront l’élève de terminale à acquérir les compétences requises pour réussir l’épreuve finale. Progressivement, il enrichira ses connaissances grâce aux œuvres étudiées et saura les utiliser pour argumenter sa pensée. Le jour de l’examen, il devra être capable de réaliser une explication de texte en présentant son raisonnement avec clarté. Par la dissertation, il montre son aptitude à confronter plusieurs idées et à justifier son point de vue en construisant une argumentation.

Ces exercices requièrent une bonne organisation et une méthodologie de travail efficace. Pour aider les lycéens à préparer l’épreuve de philosophie, Anacours propose des cours particuliers et des stages intensifs en agence.

Les enjeux de la classe de première

L’entrée en classe de première représente une étape importante dans le parcours scolaire d’un élève. Le lycéen poursuit de nouveaux objectifs et les attentes de ses professeurs s’intensifient. Le programme s’enrichit avec les enseignements de spécialité, ce qui influe sur le rythme de travail et les efforts à fournir. La préparation aux épreuves du baccalauréat et l’orientation comptent parmi les principaux enjeux de la classe de première.

 

La classe de première : une étape clé dans la scolarité d’un élève

L’enseignement en lycée général et technologique ou professionnel s’organise en trois ans. La classe de première correspond à la deuxième année du cycle. Elle constitue une période charnière entre l’entrée au lycée et l’obtention du baccalauréat, diplôme qui marque la fin des études secondaires.

Cette année s’accompagne de nouveaux enjeux pour les élèves, qui doivent satisfaire aux attentes grandissantes des équipes pédagogiques. À ce stade de leur scolarité, les élèves apprennent à travailler de façon méthodique et rigoureuse pour gagner en efficacité. Ils développent leur esprit d’analyse et leurs capacités à synthétiser, puis à prendre des notes.

En première, ils approfondissent des notions étudiées auparavant et découvrent de nouvelles matières avec l’entrée au programme des enseignements de spécialité.

 

La préparation au baccalauréat : l’un des principaux enjeux en première

L’avant-dernière année avant de passer les épreuves du baccalauréat joue un rôle déterminant. En effet, la réussite à l’examen dépendra de la régularité du travail effectué. La réforme du bac, en vigueur depuis 2021,  valorise les efforts fournis sur la durée avec la mise en place du contrôle continu. Les matières qui ne font pas l’objet d’un examen final sont donc concernées par ce dispositif. En outre, les élèves de première passent l’épreuve anticipée de français, dont la note compte pour l’attribution du diplôme.

C’est pourquoi ils doivent se préparer, dès l’entrée en classe de première, afin d’adopter une méthodologie de travail efficace. Le réseau Anacours propose plusieurs solutions de soutien scolaire comme les stages intensifs en agence et les cours particuliers à domicile. Ces séances sont l’occasion pour les élèves de revenir sur des notions essentielles du programme.

 

Entrée en première et choix d’orientation post-bac : les premières réflexions sur l’avenir

L’orientation figure également au cœur des préoccupations des élèves de première. Les lycéens doivent commencer à réfléchir à leur projet d’avenir. Ils peuvent se documenter sur les possibilités qui s’offrent à eux en fonction de leur profil et de leurs résultats. Au cours de l’année, ils devront aussi déterminer quelles seront les spécialités qu’ils souhaitent poursuivre en terminale.

Les tests de positionnement en seconde et en CAP

À la fin du collège, les élèves peuvent s’orienter vers une seconde générale, technologique, professionnelle ou se diriger vers un CAP. Qu’ils choisissent la poursuite d’études au lycée ou l’apprentissage, ils devront réaliser des tests de positionnement dès la rentrée scolaire. Comment s’organisent ces tests en classe de seconde et quelle est leur utilité ? Voici l’essentiel à retenir.  

  

Comment s’organisent les tests de positionnement en seconde ? 

Les tests de positionnement pour les élèves de seconde générale, technologique et professionnelle se déroulent sur les deux dernières semaines de septembre. Ces évaluations servent simplement à connaître les acquis de chaque élève en français et en maths lors de leur entrée au lycée. Chacune des épreuves dure une heure et se décompose en deux parties : 10 minutes de préparation et 50 minutes de passage. Elles se présentent sous forme d’exercices à réaliser sur une plateforme en ligne. 

Le test de français a pour but d’évaluer la compréhension à l’écrit et à l’oral, ainsi que la faculté à saisir le fonctionnement de la langue. En mathématiques, les questions concernent quatre domaines :  

  • Le calcul littéral ; 
  • Les nombres et les calculs ; 
  • La géométrie ; 
  • L’organisation et la gestion des données. 

 

Comment tirer profit des résultats obtenus aux tests de positionnement de seconde et de CAP ? 

 Les bilans individuels des tests de positionnement permettent aux équipes pédagogiques d’identifier les acquis de chaque élève en français et en mathématiques. Pour les professeurs, il s’agit d’amener les lycéens à consolider leurs connaissances durant les trois années qui précèdent le bac. L’objectif : les préparer à une poursuite d’études supérieures ou à une insertion dans le monde professionnel.  

Ces évaluations aide ainsi les enseignants à définir quels sont les besoins des élèves dans ces deux disciplines essentielles. Ils peuvent alors ajuster leurs méthodes éducatives de façon à leur offrir un enseignement personnalisé.  

En première année de CAP, les élèves passent également des évaluations qui permettent de vérifier leur niveau en français et en mathématiques. Les tests sont organisés en septembre et se composent de deux séquences de 40 minutes (test de littératie et test de numératie). 

Les parents sont informés des résultats obtenus par leur enfant aux différentes évaluations, ce qui constitue un atout majeur. Ils peuvent ainsi se tourner vers le soutien scolaire pour mieux l’accompagner. Cours particuliers à domicile, stages intensifs et ateliers collectifs ; Anacours propose des solutions sur mesure, adaptées aux besoins de chaque élève.  

Les types d’actions éco-responsables des établissements scolaires

Face à l’ampleur que prennent les problématiques environnementales ces dernières années, les élèves sont sensibilisés très tôt à l’écologie. L’Éducation nationale accorde une place importante aux questions liées au développement durable dans les programmes. L’objectif : faire des jeunes, des acteurs de la transition écologique. Pour cela, les établissements scolaires mettent en œuvre différents types d’actions éco-responsables.

La mise en place de projets durables pour favoriser la biodiversité

Par la circulaire du 27/08/2019, le ministère de l’Éducation nationale invite chaque établissement scolaire à mettre en place un projet durable en faveur de la biodiversité. Les enseignants s’attardent sur la question écologique en menant diverses actions. Il peut s’agir d’installer des nichoirs pour les oiseaux, des hébergements pour les insectes ou des ruches. La création et l’entretien d’un potager, les plantations d’arbres ou de fleurs constituent également des projets pertinents, dès lors qu’ils sont pérennes.

Ces actions doivent évidemment entrer dans une démarche pédagogique. De l’école primaire jusqu’au lycée, les élèves participent à ces projets. C’est l’occasion pour eux d’enrichir leurs connaissances concernant les bonnes pratiques à adopter et de prendre conscience des enjeux écologiques.

L’élection d’éco-délégués au collège et au lycée

Au collège et au lycée, chaque classe élit un éco-délégué, dont le rôle consiste à sensibiliser ses camarades au respect de l’environnement. L’élection s’effectue sur la base du volontariat. Obligatoire dès la 6ème, elle est également encouragée dans les classes de CM1 et CM2. Les éco-délégués remplissent diverses missions, en particulier celle de promouvoir les bonnes pratiques en matière d’écologie. Cela concerne aussi bien la consommation énergétique que la réduction et le tri des déchets. En véritable ambassadeur du développement durable, l’éco-délégué incite ses camarades à adopter des comportements éco-responsables au quotidien. Cela peut être d’éteindre les éclairages pendant les pauses, de limiter les pertes de chauffage en fermant les fenêtres, etc.

En parallèle des actions éco-responsables menées dans les établissements scolaires, des projets peuvent être mis en place à la maison.

Des concours pour récompenser les efforts et sensibiliser les élèves aux questions environnementales

Dans l’optique d’encourager les actions au profit de l’environnement, plusieurs écoles, collèges et lycées participent à des concours. Il peut s’agir d’un concours de dessin en lien avec une thématique précise (la nature, les océans, etc.) ou d’un challenge. Par exemple, la compétition Cube.s récompense les établissements pour les économies d’énergie qu’ils réalisent dans l’année. Il existe aussi des prix destinés aux éco-délégués, aux initiatives en faveur de la biodiversité, etc.

Le passage de classe et le redoublement

Le passage en classe supérieure

C’est le conseil du 3ème trimestre qui statue sur les propositions d’orientation de l’année suivante : passage en classe supérieure, et plus rarement, saut de classe ou redoublement. La proposition de redoublement se fait sur avis de l’inspecteur de l’Éducation Nationale, et bien sûr, après discussion avec les parents. En outre, un redoublement est toujours accompagné d’un accompagnement spécifique pour l’élève, tel qu’un programme personnalisé de réussite éducative (PPRE).

Une discussion est systématiquement mise en place entre l’équipe éducative et les parents. Ce n’est donc pas parce que le conseil de classe a recommandé un redoublement de classe que celui-ci se fera. Globalement, les redoublements sont maintenant le plus souvent volontaires, dans le but de mieux réussir son orientation, notamment en Troisième.

Depuis 2014, le redoublement d’un élève est très rare, car évité au maximum. Il n’existe pas en maternelle, et reste très peu répandu en primaire et au collège. Il est plus courant au lycée, notamment en classe de seconde, ainsi qu’en terminale en cas d’échec au bac. Alors si vous redoublez, comment gérer au mieux cette seconde année et en tirer parti ?

Comment gérer un redoublement ?

Le redoublement peut être difficile à gérer pour l’élève, car il peut être vécu comme un échec, d’autant plus s’il s’agit de la terminale en cas de notes insuffisantes au bac. Ce dernier se retrouvera aussi en décalé avec ses amis, dont il aura sans doute peur de s’éloigner. Si le redoublement peut être évité, il faut donc prendre en compte ces composantes psychologiques.

En cas de redoublement, il faudra rester positif et faire le point honnêtement sur les faiblesses et les échecs passés, afin d’identifier ce qui a pu poser problème et l’éviter. Il faut aussi reconnaître quelles étaient les forces et ce qui a pu être réussi, et en tirer le maximum. Le but est en effet de procéder autrement sur cette nouvelle année scolaire, ainsi, une nouvelle méthode de travail et un nouveau rythme doivent être mis rapidement en place. Une discussion avec l’équipe éducative en début d’année sera aussi indispensable pour glaner le plus de conseils possible.

Enfin, mettre en place un accompagnement personnalisé tout au long de l’année scolaire, avec un professeur particulier, peut s’avérer très utile pour mettre toutes les chances de son côté et repartir sur de bonnes bases.