Les bénéfices d’un feedback positif dans l’apprentissage

Le sens de la pédagogie, la patience et l’écoute font partie des qualités requises pour accompagner un enfant dans ses apprentissages. En tant que professeur, il est important de savoir valoriser les efforts et les progrès pour favoriser l’épanouissement de l’élève. Les parents peuvent également jouer un rôle déterminant dans le parcours scolaire de leur enfant en les encourageant. Le feedback positif est une approche qui, comme son nom l’indique, se concentre sur les forces plutôt que les faiblesses. Comment le mettre en pratique et quels bénéfices en tirer ? Voici nos conseils.

 

Qu’est-ce qu’un feedback et comment le réaliser de façon positive avec son enfant ou ses élèves ?

Dans le domaine scolaire, le feedback se définit comme le retour que l’enseignant fait sur le travail de son élève. Il lui transmet plusieurs informations relatives aux connaissances acquises, à sa compréhension, à la maîtrise des notions étudiées, etc. Le principe : accompagner l’enfant dans son processus d’apprentissage et lui faire prendre conscience de ses progrès et des objectifs à atteindre.

On parle de feedback positif quand on se concentre sur les réussites, les soft skills et les qualités de l’enfant, plutôt que sur les points négatifs. On évite alors de pointer les faiblesses, de se focaliser sur les échecs ou les problèmes d’attitude.

L’enseignant Anacours ou le parent qui désire appliquer la méthode de feedback positif peut adopter plusieurs pratiques :

  • Formuler un retour positif sur chaque exercice réalisé pour mettre en valeur les notions acquises ;
  • Livrer une appréciation positive en fin de séance de travail sur le comportement de l’enfant ;
  • Lui proposer de s’autoévaluer et d’identifier quels sont ses points forts, etc.

 

L’important sera de donner un retour constructif à l’élève, en se focalisant sur les améliorations et les succès.

 

Pourquoi privilégier le feedback positif pour accompagner un élève dans ses apprentissages ?

En tant que professeur particulier, adopter un discours positif avec son élève présente de nombreux avantages. Cela permet de créer une relation de confiance entre l’enfant et son enseignant. Mais cela aide surtout l’élève à gagner en assurance et à prendre conscience de ses capacités. En évitant de se focaliser sur ses difficultés ou ses éventuels blocages, il parviendra à surmonter les obstacles qui freinent son apprentissage.

Le feedback positif est un excellent moyen d’encourager l’élève et de l’amener à progresser plus rapidement. C’est pourquoi chez Anacours, nous valorisons cette approche et recommandons à nos enseignants de l’adopter pour accompagner au mieux chaque enfant.

Quelles leçons tirer à la réception de son bulletin scolaire et comment le décrypter ?

À la fin de chaque trimestre, les collégiens et les lycéens reçoivent leur bulletin scolaire. Ce document très attendu des élèves comme des parents dresse un bilan du travail effectué et des notes obtenues. Il permet d’apprécier les progrès réalisés et de mettre en évidence les points à améliorer. Comment décrypter son bulletin scolaire et en tirer des bénéfices pour la suite de l’année ? Anacours vous guide.

Quelles informations donne le bulletin scolaire ?

Au cours de l’année, les élèves sont évalués sur leur travail dans toutes les matières. L’équipe pédagogique se réunit à la fin de chaque trimestre pour faire le point sur les acquisitions des élèves dans les différentes disciplines. À l’issue du conseil de classe, les enseignants établissent les bulletins scolaires qu’ils remettent aux familles.

Ce document regroupe plusieurs informations :

  • La moyenne générale obtenue par l’élève et celle de la classe ;
  • La moyenne de l’élève dans chaque matière ;
  • Des commentaires des professeurs pour chaque discipline ;
  • Une appréciation générale.

 

Le bulletin scolaire : comment bien l’interpréter pour en tirer profit ?

L’appréciation générale donne une vision globale des progrès réalisés sur la période et des attentes pour la suite. L’élève doit donc commencer par prendre connaissance de cette appréciation et de sa moyenne générale. Cela l’aide à évaluer son niveau, à prendre conscience de ses points forts et de ses faiblesses. Ce bilan d’ensemble permet de définir les objectifs à atteindre pour le trimestre à venir.

Pour mieux comprendre quels sont les points à améliorer, le bulletin indique également les moyennes obtenues dans chaque matière. Les professeurs ajoutent un commentaire qui apporte des précisions sur l’attitude en classe, les compétences acquises et celles à renforcer. L’élève peut identifier les disciplines dans lesquelles il réussit et celles pour lesquelles il rencontre le plus de difficultés.

Enfin, les moyennes de la classe aident l’enfant à se situer par rapport à ses camarades et aux attentes de chaque professeur.

 

Comment s’appuyer sur son bulletin scolaire pour progresser ?

Le bulletin scolaire remplit deux objectifs. Il donne un bilan du travail réalisé sur le trimestre passé et permet de comprendre les attendus des professeurs pour la suite. Pour certains élèves, ce sera l’occasion d’envisager la mise en place d’un soutien scolaire.

Chez Anacours, nous fournissons des solutions d’accompagnement personnalisées afin de répondre aux besoins de chaque enfant. Nos conseillers pédagogiques se basent sur le bulletin scolaire de l’élève pour identifier ses forces et ses faiblesses. Grâce au relevé de notes et aux appréciations des professeurs, ils sont en mesure de proposer une formule adaptée à son profil.

Combien ça coûte de prendre des cours particuliers ?

De la primaire jusqu’à l’université, les élèves et les étudiants peuvent se confronter à divers obstacles durant leur scolarité. Certains rencontrent des difficultés dans une ou plusieurs matières. Pour d’autres, il s’agit de troubles de l’apprentissage (lecture, concentration, méthodologie, etc.). Le soutien scolaire se présente alors comme une solution idéale pour encourager les progrès de son enfant. Quel budget prévoir pour cette prestation ? Voici l’essentiel à retenir sur le coût des cours particuliers à domicile.

 

Quels critères font varier les tarifs des cours particuliers ?

 

La mise en place d’un soutien scolaire s’avère parfois indispensable pour aider un écolier, un collégien ou un lycéen. Un accompagnement personnalisé permet à l’élève de revoir les notions non assimilées, de consolider ses connaissances et de reprendre confiance en lui. Cela peut concerner une ou plusieurs disciplines et se programmer sur une durée plus ou moins longue selon les besoins de chaque enfant. C’est pourquoi les prix des cours particuliers évoluent d’un élève à l’autre.

Anacours propose des cours particuliers à domicile, du CP jusqu’aux études supérieures. Nos tarifs varient en fonction de plusieurs éléments :

  • Le niveau scolaire de l’enfant ;
  • Son lieu d’habitation ;
  • Le nombre de cours nécessaires à programmer.

 

Par exemple, le tarif horaire pour un cours de niveau lycée sera plus élevé que celui d’un cours pour un élève de primaire. Pour obtenir une estimation précise du budget à prévoir, nous vous invitons à contacter un conseiller pédagogique en agence au 09 72 60 52 52.

 

 

Combien coûtent les prestations de soutien scolaire en moyenne ?

Spécialiste du soutien scolaire à domicile, le réseau Anacours accorde une importance majeure à la qualité des services proposés. Nous sélectionnons nos enseignants selon un processus de recrutement rigoureux. Notre mission étant de fournir à chaque enfant un accompagnement sur-mesure, par un professionnel pédagogue, qualifié et expérimenté. Le traditionnel « tandem-gagnant » de chez Anacours.

Le taux horaire minimum appliqué pour nos cours particuliers est de 18,50 € avec l’Avance immédiate du crédit d’impôt.

 

Ne payez que 50% du prix des cours particuliers grâce à l’avance immédiate de crédit d’impôt

 

Le soutien scolaire à domicile compte parmi les prestations de services à la personne donnant droit à des avantages fiscaux. Les familles peuvent en effet bénéficier d’un crédit d’impôt de 50 % des dépenses en cours particuliers à domicile. Une solution parfaite pour accompagner son enfant dans sa scolarité, tout en maîtrisant son budget !

Avec Anacours, il est possible de profiter du dispositif l’Avance immédiate de crédit d’impôt. Plus d’avance à réaliser, vos mensualités sont allégées. C’est simple et rapide, Anacours s’occupe de tout !

Les temps forts de l’année scolaire à l’école élémentaire

Le quotidien des écoliers s’organise en fonction du programme et des objectifs éducatifs à atteindre. Mais à l’école élémentaire, l’année est également marquée par des temps forts, dont certains concernent toutes les classes. Évaluations nationales, bilans, sorties pédagogiques, etc. ; voici un aperçu des événements importants qui rythment l’année scolaire d’un élève de primaire.

 

Les évaluations nationales à l’école primaire

Le mois de septembre sera l’occasion de faire le point sur les acquis individuels des élèves de CP et de CE1. Les évaluations nationales se déroulent dans les semaines qui suivent la rentrée. Elles permettent aux enseignants d’apprécier le niveau de chaque enfant en français et en mathématiques. Grâce aux résultats obtenus, ils peuvent déterminer quels sont les besoins des élèves dans ces disciplines afin d’adapter leurs pratiques éducatives.

 

Les bilans périodiques semestriels pour évaluer les compétences de l’élève

Chaque enfant dispose d’un livret scolaire qui le suit tout au long de sa scolarité. C’est dans ce document que sont rassemblés les bilans qui permettent d’évaluer les acquis de l’élève. Cela remplace les bulletins qui étaient transmis aux familles à chaque fin de trimestre.

Les bilans périodiques s’effectuent deux fois au cours de l’année. Les parents reçoivent une première fois le livret fin janvier, puis une seconde fois en juin. Les enseignants y indiquent le niveau acquis par l’élève dans chaque domaine d’apprentissage. Ils donnent aussi leurs appréciations sur les progrès réalisés et les points à améliorer.

Les familles peuvent ainsi déceler les éventuelles difficultés que rencontre leur enfant et envisager la mise en place d’un soutien scolaire.

Notez que les élèves de CE2 reçoivent également un bilan de fin de cycle en juin. Ce dernier consiste à évaluer le niveau d’acquisition pour les différentes composantes du socle de compétences.

 

Les sorties scolaires : un programme propre à chaque établissement

Outre les évaluations et les bilans, l’année est rythmée par les sorties scolaires ; des moments durant lesquels on allie découverte et plaisir. Le planning des excursions dépend de plusieurs éléments et diffère d’un établissement à l’autre. Les équipes éducatives planifient des sorties pédagogiques en lien avec des thèmes prévus au programme. Un voyage de fin d’année peut également être organisé et concerner tous les élèves de l’école.

 

Les spectacles d’école : le temps des festivités pour petits et grands

À l’école, les enfants enrichissent leurs connaissances, leurs compétences et développent aussi leur sens de la créativité. Ils mettent leurs talents artistiques à profit lors des spectacles organisés durant l’année. Généralement, les établissements prévoient des représentations pour les fêtes de fin d’année et à l’approche des grandes vacances.

Les exposés : premiers oraux de la scolarité

L’expression orale se travaille dès l’école primaire à travers différents exercices. Les exposés constituent les premiers oraux auxquels se soumettent les élèves. Incontournables, ils permettent aux enfants d’enrichir leurs connaissances, mais aussi d’acquérir des compétences fondamentales pour la suite de leur scolarité. Déroulement, enjeux, objectifs ; voici l’essentiel à savoir sur les exposés.

 

En quoi consiste l’exercice de l’exposé ?

Un exposé consiste à réaliser une présentation à l’oral sur un sujet donné, en vue de transmettre ses connaissances. À l’école élémentaire et au collège, les professeurs proposent fréquemment ce type d’exercice à leurs élèves. Le travail peut porter sur une grande diversité de thématiques en lien avec les notions incluses au programme. Les sciences, l’histoire et la géographie, la littérature, etc. ; il est possible d’organiser des exposés dans différentes disciplines.

L’exercice se déroule en plusieurs étapes : les recherches, l’analyse des informations, la préparation et la présentation orale. Les écoliers peuvent être amenés à travailler par petits groupes dans certains cas.

 

 

Quelles compétences développe l’élève lors de la réalisation d’un exposé ?

Si l’exposé tient une place importante dans le parcours scolaire d’un élève, c’est parce qu’il lui permet d’acquérir de nouvelles aptitudes. L’écolier profite de cet exercice pour approfondir ses connaissances et enrichir sa culture générale. En effectuant des recherches, il développe ses capacités d’analyse et de réflexion. Il apprend à sélectionner les informations, en fonction de leur pertinence par rapport au sujet donné.

La présentation orale constitue l’aboutissement du travail. L’élève doit retransmettre le contenu de ses recherches en soumettant son exposé à la classe. Il s’entraîne ainsi à prendre la parole devant un public.

À travers cet exercice, les enfants apprennent à s’exprimer clairement dans un langage correct. Cela les aide aussi à gagner en confiance et à gérer le stress.

 

Les exposés à l’école : comment bien s’y préparer

Les premiers exposés peuvent représenter une grande épreuve pour les enfants réservés. C’est pourquoi plus ils pratiquent tôt et plus ils progressent facilement. Pour certains collégiens, cet exercice s’avère toujours délicat, malgré l’expérience acquise à l’école primaire. Qu’il s’agisse de s’exprimer à l’oral ou d’organiser leur travail ; il existe des solutions pour les aider à se préparer aux exposés.

Anacours propose des mesures d’accompagnement personnalisées pour répondre aux besoins de chaque élève. Les cours particuliers à domicile donnent l’occasion aux écoliers et aux collégiens de travailler sur les points à améliorer comme l’oral ou la méthodologie. Après quelques séances avec un professeur qualifié, l’enfant prendra confiance en lui et se sentira prêt pour les prochains exposés.

Comment savoir si mon enfant a besoin de cours particuliers ?

Durant leur scolarité, certains enfants rencontrent des difficultés d’apprentissage. Cela peut survenir à l’école primaire, au collège et même au lycée lorsqu’ils découvrent de nouvelles matières. Si les efforts fournis ne suffisent plus à surmonter les obstacles, la mise en place d’un soutien scolaire sera envisageable. Comment vérifier si son enfant a besoin de cours particuliers ? Quels signes doivent alerter ? Nous répondons à toutes vos questions.

 

Difficultés d’apprentissage à l’école : quels sont les indices à prendre en compte ?

 

Le bulletin du premier trimestre et les observations des professeurs donnent une idée précise des capacités de l’élève. Ce bilan permet aux parents de connaître les atouts de leur enfant, mais aussi de déterminer quelles sont ses faiblesses. Mais avant de recevoir le relevé de notes, des signaux peuvent montrer qu’un élève éprouve des difficultés dans une ou plusieurs matières.

Des résultats moyens malgré un travail assidu, une baisse de motivation ou des troubles de l’attention comptent parmi les signes avant-coureurs. Ces difficultés peuvent survenir à tout âge et se répercuter sur plusieurs enseignements. Des troubles de l’apprentissage de la lecture ou de l’écriture impactent l’étude des autres disciplines par exemple. C’est pourquoi il est indispensable de traiter cette situation le plus tôt possible, en proposant à l’élève un accompagnement personnalisé.

 

Soutien scolaire : comment déterminer les besoins de son enfant ?

 

Anacours offre différentes solutions visant à aider les élèves dans leur scolarité, dès l’entrée au CP. En tant que parent, il peut paraître difficile de définir les besoins de son enfant. Notre mission consiste à mettre en place un programme de soutien scolaire adapté au profil de chaque élève.

Pour mieux comprendre les faiblesses d’un élève, nous invitons d’abord la famille à un entretien avec un conseiller pédagogique. Ce professionnel dresse un bilan en se basant sur le parcours et les notes de l’élève. Ce premier échange est l’occasion de déterminer quels sont les besoins réels de l’enfant, en fonction de ses capacités et de son âge. À l’issue de l’entrevue, le conseiller Anacours oriente la famille vers la solution la plus appropriée. C’est lui qui estime si l’intervention d’un enseignant particulier à domicile peut être une option pertinente pour accompagner l’élève.

Les parents sont ensuite mis en relation avec le ou les professeurs dont les méthodes correspondent le mieux au profil de l’élève. Le premier cours particulier permet à l’enseignant d’évaluer plus précisément ses acquis et les points à travailler. Après avoir défini ses besoins, il pourra proposer un programme adapté afin d’aider l’enfant à surmonter les obstacles rencontrés.

Les évaluations nationales (CP, CE1, 6ème)

À chaque rentrée scolaire, les élèves de CP, de CE1 et de 6ème passent des évaluations en mathématiques et en français. Ces tests sont organisés tous les ans (depuis 2017) par le ministère de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports. En quoi consistent-ils et comment se déroulent-ils dans les différentes classes ? Objectifs et fonctionnement ; voici l’essentiel à connaître sur les évaluations nationales.

 

Quels sont les objectifs des évaluations nationales ?

Les évaluations de compétences visent plusieurs buts. Les bilans sont utiles aussi bien aux enseignants qu’aux différents partenaires de proximité. Cela leur permet d’apprécier le niveau acquis par les élèves en français et en mathématiques. En CP, en CE1 et en 6ème, ces évaluations aident les professeurs dans leurs pratiques pédagogiques. Ils peuvent se référer aux résultats obtenus en complément de leurs observations pour connaître les capacités de chaque élève.

Les évaluations permettent également aux recteurs d’académie, aux inspecteurs et aux chefs d’établissements d’adapter leurs actions. Au niveau national, elles fournissent des indications sur le succès de la politique éducative menée et sur les améliorations à envisager.

 

Comment se déroulent les évaluations nationales en classe de CP ?

Pour les élèves de CP, les évaluations de compétences sont programmées en septembre, puis en janvier. Elles se présentent sous la forme d’un cahier d’exercices et s’organisent en courtes séquences de 8 à 12 minutes en français, puis en mathématiques. La connaissance des lettres, des sons et des syllabes constitue la base de l’apprentissage de la lecture. En maths, les tests portent sur les nombres, les formes et la résolution de problèmes.

 

En quoi consistent les évaluations nationales en CE1 ?

En classe de CE1, les évaluations nationales se produisent uniquement en septembre et s’effectuent en 4 séances, puis 2 épreuves individuelles. Les séquences collectives de français durent 12 minutes et celles de mathématiques se passent en 15 minutes maximum. Les sessions individuelles permettent d’évaluer la lecture à haute voix.

Pour ce niveau, on évalue :

  • la compréhension écrite et orale,
  • l’orthographe,
  • le vocabulaire
  • Le calcul mental et en ligne ;
  • La géométrie ;
  • La capacité à comprendre et résoudre des problèmes.

 

Comment fonctionnent les évaluations nationales en 6ème ?

Dès l’entrée au collège, les élèves de 6ème se soumettent de nouveau aux évaluations nationales afin de vérifier leurs acquis. Les exercices s’effectuent sur support numérique, par le biais d’une plateforme en ligne. Les évaluations se déroulent fin septembre. Elles se composent de deux séances collectives d’une heure (français et mathématiques), puis d’un test de fluence.

Elles visent à contrôler le niveau des élèves pour cette dernière année du cycle de consolidation (cycle 3). Plusieurs compétences sont évaluées :

  • Compréhension écrite et orale ;
  • Étude de la langue ;
  • Grandeurs et mesures ;
  • Nombres et calculs, etc.

Les résultats individuels des élèves sont transmis aux familles lors d’un entretien avec l’enseignant. Cet échange permet de faire le bilan des besoins de l’enfant et de déceler les difficultés qu’il pourrait rencontrer. C’est également l’occasion d’envisager la mise en place d’un soutien scolaire à domicile.

Qui sont les éco-délégués ?

Tout au long de l’année, les établissements scolaires mènent diverses actions en faveur de l’écologie. Parmi elles, on peut citer l’élection d’éco-délégués dans chaque classe. Quel rôle jouent ces élèves et en quoi consistent leurs missions ? Voici l’essentiel à connaître sur ces ambassadeurs du développement durable à l’école.

Qui peut devenir éco-délégué ?

Depuis 2020, les collèges et les lycées doivent obligatoirement organiser des élections pour désigner un éco-délégué par classe. Les élèves qui souhaitent s’impliquer activement dans le projet environnemental de leur école peuvent s’y présenter. En outre, les différents établissements nomment chaque année un binôme d’éco-délégués parmi les membres des conseils académiques de la vie collégienne et lycéenne.

Si elle n’est pas imposée en primaire, l’élection des éco-délégués est fortement encouragée dans les classes de CM1 et CM2.

 

Quel est le rôle des éco-délégués au sein des établissements scolaires ?

La mission principale d’un éco-délégué consiste à sensibiliser ses camarades de classe aux problématiques environnementales. Il se positionne en ambassadeur du développement durable, mais également comme acteur, en participant aux projets menés par l’établissement.

Ces représentants interviennent de plusieurs façons. Au quotidien, ils incitent les élèves à adopter les bons gestes en faveur de l’écologie. Cela concerne aussi bien les réflexes visant à économiser l’énergie que le tri et la réduction des déchets. Les éco-délégués agissent en portant divers projets et en contribuant à leur mise en œuvre. Ces actions se rapportent aux principaux enjeux du développement durable comme le gaspillage alimentaire ou la sauvegarde de la biodiversité.

Outre ces différentes missions, les deux éco-délégués d’établissement représentent leur collège ou leur lycée auprès des partenaires extérieurs. Ils interviennent lors des conseils académiques pour décrire les projets et les actions menées au sein de leur école pour la transition écologique.

Quelles actions les éco-délégués peuvent-ils mettre en place ?

En plus d’informer leurs camarades sur les projets de son collège ou de son lycée, l’éco-délégué peut s’investir en proposant diverses initiatives. Par exemple, pour réduire les déchets, il peut suggérer aux responsables de l’établissement d’installer un bac à compost. Ce dernier pourra être réutilisé dans un potager, un projet réalisable en faveur de la biodiversité.

Les éco-délégués ont aussi la possibilité d’exploiter divers moyens de communication : affiches, blog de l’école, réseaux sociaux, etc. Grâce à ces canaux, ils peuvent proposer la mise en place d’actions individuelles ou collectives. Cela peut consister à disposer des affiches dans les salles de classe pour rappeler d’éteindre l’éclairage ou de fermer les fenêtres.

Enfin, les éco-délégués participent au pilotage des projets organisés par leur établissement scolaire en faveur de l’écologie.

Les types d’actions éco-responsables des établissements scolaires

Face à l’ampleur que prennent les problématiques environnementales ces dernières années, les élèves sont sensibilisés très tôt à l’écologie. L’Éducation nationale accorde une place importante aux questions liées au développement durable dans les programmes. L’objectif : faire des jeunes, des acteurs de la transition écologique. Pour cela, les établissements scolaires mettent en œuvre différents types d’actions éco-responsables.

La mise en place de projets durables pour favoriser la biodiversité

Par la circulaire du 27/08/2019, le ministère de l’Éducation nationale invite chaque établissement scolaire à mettre en place un projet durable en faveur de la biodiversité. Les enseignants s’attardent sur la question écologique en menant diverses actions. Il peut s’agir d’installer des nichoirs pour les oiseaux, des hébergements pour les insectes ou des ruches. La création et l’entretien d’un potager, les plantations d’arbres ou de fleurs constituent également des projets pertinents, dès lors qu’ils sont pérennes.

Ces actions doivent évidemment entrer dans une démarche pédagogique. De l’école primaire jusqu’au lycée, les élèves participent à ces projets. C’est l’occasion pour eux d’enrichir leurs connaissances concernant les bonnes pratiques à adopter et de prendre conscience des enjeux écologiques.

L’élection d’éco-délégués au collège et au lycée

Au collège et au lycée, chaque classe élit un éco-délégué, dont le rôle consiste à sensibiliser ses camarades au respect de l’environnement. L’élection s’effectue sur la base du volontariat. Obligatoire dès la 6ème, elle est également encouragée dans les classes de CM1 et CM2. Les éco-délégués remplissent diverses missions, en particulier celle de promouvoir les bonnes pratiques en matière d’écologie. Cela concerne aussi bien la consommation énergétique que la réduction et le tri des déchets. En véritable ambassadeur du développement durable, l’éco-délégué incite ses camarades à adopter des comportements éco-responsables au quotidien. Cela peut être d’éteindre les éclairages pendant les pauses, de limiter les pertes de chauffage en fermant les fenêtres, etc.

En parallèle des actions éco-responsables menées dans les établissements scolaires, des projets peuvent être mis en place à la maison.

Des concours pour récompenser les efforts et sensibiliser les élèves aux questions environnementales

Dans l’optique d’encourager les actions au profit de l’environnement, plusieurs écoles, collèges et lycées participent à des concours. Il peut s’agir d’un concours de dessin en lien avec une thématique précise (la nature, les océans, etc.) ou d’un challenge. Par exemple, la compétition Cube.s récompense les établissements pour les économies d’énergie qu’ils réalisent dans l’année. Il existe aussi des prix destinés aux éco-délégués, aux initiatives en faveur de la biodiversité, etc.

Les soft skills : qu’est-ce que c’est et comment les mettre en avant dans sa scolarité ?

Dans le milieu scolaire, on accorde une grande importance à la maîtrise des connaissances et aux savoir-faire. Les évaluations permettent d’apprécier le niveau d’acquisition des élèves dans chaque matière grâce à un système de notation. Mais aujourd’hui, on s’intéresse de plus en plus aux soft skills, ce qui correspond aux compétences personnelles, aux savoir-être. De quoi s’agit-il exactement et comment les développer et les valoriser dans le cadre scolaire ? Voici l’essentiel à retenir.

Qu’est-ce que les soft skills ? Notre explication

Les soft skills se traduisent littéralement par compétences douces. Contrairement aux hard skills, les compétences dures, elles ne concernent pas les savoir-faire techniques que l’on acquiert à l’école ou au cours d’une formation. On pense par exemple à la maîtrise de programmes informatiques, d’outils, de méthodes et de connaissances dans un domaine spécifique (santé, bâtiment, droit, etc.).

Les soft skills englobent toutes les aptitudes humaines que l’on pourrait présenter comme des savoir-être. Cela inclut aussi bien la faculté à s’organiser et à travailler en équipe que la gestion du stress ou l’estime de soi. En clair, les soft skills relèvent plus du comportement d’une personne que des connaissances acquises et validées par des diplômes.

Vous ne devez pas confondre les soft skills et les capacités innées. En effet, contrairement aux qualités que nous possédons naturellement, les “compétences douces” peuvent s’améliorer.

Comment les élèves peuvent-ils développer des soft skills à l’école et pourquoi ?

La place qu’occupent les soft skills dans le monde professionnel gagne en importance depuis plusieurs années. Les recruteurs s’intéressent aussi bien aux connaissances théoriques et à la maîtrise d’outils techniques qu’aux aptitudes relationnelles ou d’organisation des candidats.

C’est pourquoi il est indispensable de perfectionner ses soft skills durant sa scolarité. Depuis 2016, les nouveaux programmes de l’Éducation nationale intègrent l’acquisition de ces compétences. Les élèves travaillent leur capacité à communiquer, à prendre la parole en public et à écouter les autres. Ils améliorent leur esprit d’équipe en s’impliquant dans des travaux de groupe. Les ateliers collectifs sont l’occasion pour eux d’apprendre à collaborer sur un projet commun, en développant leur créativité.

Tout au long de leur scolarité, les élèves peuvent mettre leurs soft skills en valeur dans diverses situations. Par exemple, un écolier démontre sa faculté à communiquer en participant à l’oral. Un collégien améliore son aptitude à gérer son temps lors des évaluations écrites. Le lycéen travaille sur son organisation, ses qualités relationnelles, etc.

Pour tous, il s’agit de définir les soft skills acquises et celles à développer, en vue de gagner en confiance.