Comment progresser en compréhension écrite en langue ?

Apprendre une langue passe par l’écoute, la pratique, ainsi que par la maîtrise de l’écrit. En anglais, en italien ou en allemand, les élèves travaillent aussi bien la compréhension orale que la compréhension écrite. Pour certains, il paraît parfois difficile de lire un texte et d’en saisir le sens. Une aptitude qui s’avère indispensable, quelle que soit la langue étudiée. Anacours vous livre ses astuces pour améliorer sa compréhension écrite en langue.

 

Écrire pour perfectionner sa compréhension en langue

L’apprentissage de l’anglais commence dès l’école primaire et s’intensifie lors de l’entrée au collège. Les élèves découvrent par la suite une seconde langue vivante à partir de la 5ème. Qu’ils choisissent l’espagnol, l’allemand ou l’italien, ils devront se familiariser avec l’oral et l’écrit pour acquérir un bon niveau et progresser.

Comprendre un énoncé ou un document et répondre à des questions, lire un texte puis rédiger un résumé, etc. Tous ces travaux permettent aux professeurs d’évaluer les compétences d’un élève à l’écrit.

L’entraînement et la régularité constituent les clés de l’apprentissage d’une nouvelle langue. Plusieurs astuces peuvent aider un élève qui rencontre des difficultés à assimiler le sens des mots ou des expressions courantes :

  • La prise de notes ;
  • La réalisation de fiches de révisions ;
  • La reproduction d’exercices effectués en classe.

Le fait de relire sa leçon en prenant des notes permettra à l’enfant de réviser activement, ce qui favorisera sa mémorisation. Pour améliorer sa compréhension écrite en langue vivante, un élève doit d’abord maîtriser le vocabulaire et connaître la signification des mots appris en cours. Noter les nouveaux termes étudiés et leur sens sur des fiches l’aidera à mieux les retenir.

 

La lecture : un excellent moyen d’améliorer sa compréhension écrite en langue

La compréhension écrite dépend également de la maîtrise de la conjugaison, de la grammaire et de la syntaxe. Pour progresser sur ces aspects, la meilleure solution consiste à lire régulièrement des textes en langue étrangère. Les lycéens qui disposent déjà de plusieurs années d’expérience dans l’apprentissage de l’anglais peuvent lire des magazines spécialisés par exemple. Certains établissements proposent aussi des livres en langues étrangères, adaptés à chaque niveau. Et pour lier l’utile à l’agréable, on peut même regarder sa série préférée en VO sous-titrée !

 

Progresser en langue grâce aux solutions Anacours

Anacours accompagne les enfants tout au long de leur scolarité et dans toutes les matières. Nous proposons diverses solutions pour aider les élèves à améliorer leur compréhension écrite en langue vivante :

  • Cours particuliers à domicile ;
  • Stages intensifs en agence ou à domicile ;
  • Cours en ligne.

Pratique, la plateforme Anacours Online donne accès à de nombreuses ressources pédagogiques (leçons, exercices corrigés, quiz, dictionnaires, etc.) De quoi apprendre, réviser et s’entraîner pour progresser à son rythme !

En partenariat avec Cambridge English, Anacours propose de préparer des certifications pour tous les niveaux. Ces diplômes allant du niveau A1 à C1 sont alignés sur les niveaux du Cadre Européen de référence (CECR) et sont reconnus par plus de 25 000 écoles, universités et employeurs dans le monde. Pour en savoir plus, renseignez-vous auprès de votre agence.

Qu’est-ce que le plagiat dans ses devoirs ?

Le numérique constitue un véritable progrès pour les élèves. Qu’ils soient collégiens, lycéens ou étudiants, l’accès à internet simplifie leur travail, notamment pour les exercices nécessitant des recherches. Mais, si le web offre une immense quantité de ressources aux élèves, il s’accompagne d’un inconvénient majeur : il facilite le plagiat. Un réel fléau pour les professeurs, ainsi que pour les étudiants qui s’exposent à des risques. Comment se traduit le plagiat dans les devoirs et comment l’éviter ? Voici nos explications.

 

Le plagiat : qu’est-ce que c’est ?

Il existe différentes formes de plagiat, par conséquent il peut paraître délicat pour un élève de comprendre cette notion. Si certains d’entre eux copient volontairement un auteur pour gagner du temps, d’autres commettent l’erreur, car ils ne connaissent pas les règles.

On parle de plagiat dans un devoir lorsque l’étudiant s’approprie les idées d’une autre personne et les retransmet sans citer ses sources. Copier-coller un texte dans son ensemble ou en partie, reprendre un contenu en le paraphrasant, insérer une citation sans mentionner l’auteur, etc. Toutes ces pratiques sont considérées comme du plagiat.

Pourquoi faut-il absolument éviter de faire du plagiat dans ses devoirs ?

Les élèves de collège, de lycée et les étudiants peuvent être tentés par ce procédé par manque de temps ou d’inspiration. Or, le plagiat est assimilé à une violation de la propriété intellectuelle. Ils doivent donc prendre conscience des risques et des sanctions auxquelles ils s’exposent. Les conséquences peuvent être plus ou moins importantes selon les cas (annulation de l’épreuve, exclusion temporaire ou définitive, etc.).

Outre les punitions encourues, cela impacte les progrès de l’élève. Le fait de copier-coller un contenu ou de reprendre une idée va l’empêcher de développer son propre esprit analytique et de synthèse. Il n’utilisera pas ses connaissances pour les mettre à profit et le professeur ne sera pas en mesure d’évaluer ses acquis. À terme, un élève qui choisit de reproduire l’œuvre d’un autre par facilité accumulera les lacunes.

Comment limiter les risques de plagiat dans ses travaux écrits ?

Si certains élèves insèrent délibérément des passages plagiés dans leurs dissertations, d’autres le font par inattention. Les professeurs-documentalistes enseignent aux enfants les bonnes pratiques à appliquer lorsqu’ils effectuent des recherches, dès l’entrée au collège. Les élèves étudient les règles de citation, les méthodes pour trouver des sources fiables, la prise de notes, etc.

Pour éviter le plagiat involontaire, il est important de savoir quand et de quelle manière citer une source. L’élève doit également apprendre à reformuler correctement, sans copier ni paraphraser les idées ou l’analyse d’une autre personne.

Anacours fournit des solutions pour accompagner les élèves dans leur scolarité. Les cours à domicile ou les stages intensifs peuvent être l’occasion de travailler sur l’utilisation des sources dans les devoirs.

Les enjeux du second trimestre

Pour les écoliers, les collégiens et les lycéens, l’arrivée du second trimestre marque un tournant important dans l’année scolaire. Le premier bulletin et les appréciations des professeurs ont permis aux élèves d’évaluer leur niveau d’acquisition pour chaque matière. Mais cela leur donne aussi un aperçu des points à améliorer et des efforts à fournir durant les mois à venir. Organisation, régularité, préparation aux examens, etc. ; découvrez quels sont les principaux enjeux du second trimestre.

 

Un rythme de travail soutenu et des attentes grandissantes de la part des enseignants

L’année scolaire s’organise sur trois trimestres, durant lesquels les élèves alternent des phases à l’école et des périodes de congés. Le second trimestre débute réellement en janvier, au retour des vacances de Noël. Les collégiens et les lycéens ont déjà reçu un premier bulletin. Pour les écoliers, il faudra attendre le mois de février pour obtenir le bilan de compétences.

Le deuxième trimestre constitue donc une étape cruciale dans le parcours de l’enfant. Ce dernier devra faire face à un rythme de travail plus intense dans chaque discipline. Si les premières semaines de l’année sont l’occasion de revoir des éléments enseignés les années précédentes, cette période s’accompagne de nouveaux enjeux. À mi-parcours, les écoliers, collégiens et lycéens doivent avoir étudié une majeure partie du programme. Ils découvriront de nouvelles notions, qu’ils devront assimiler, tout en consolidant les connaissances déjà acquises.

Cela nécessite une bonne organisation de travail et une grande régularité. D’autant plus que les professeurs attendent des élèves qu’ils progressent sur les points à améliorer.

 

La préparation aux examens pour les élèves de troisième, première et terminale

Le second trimestre joue un rôle clé, puisqu’il marque le milieu de l’année scolaire. Les élèves concernés par les examens du brevet ou du baccalauréat devront commencer à se préparer aux épreuves. La meilleure option pour réussir reste de travailler de façon régulière et de ne surtout pas attendre le dernier moment pour réviser.

Les établissements organisent des sessions d’examens blancs en fin de second trimestre. Ces évaluations, réalisées dans les conditions similaires aux épreuves finales, permettent de revoir les notions fondamentales du programme.

 

Les solutions Anacours pour réussir son second trimestre

Pour aider les élèves à faire face aux enjeux du second trimestre, Anacours propose diverses solutions de soutien scolaire :

  • Cours particuliers ;
  • Stages intensifs ;
  • Cours en ligne, etc.

Quel que soit le niveau de chaque enfant, nos conseillers pédagogiques orienteront les familles vers l’option qui répondra le plus à ses besoins. Des séances de cours particuliers à domicile peuvent aider l’élève à progresser dans une matière. Les stages collectifs en agence seront l’occasion de revoir des notions fondamentales du programme ou de développer une méthodologie de travail efficace.

Gérer son temps et bien s’organiser pendant un examen

Rien de pire que de ne pas avoir le temps de conclure sa copie lors d’un examen ! Savoir gérer son temps tout le long d’une épreuve est indispensable, et permet de travailler avec sérénité. Découvrez avec nous comment vous organiser plus facilement durant vos différents examens.

L’importance du facteur temps durant une épreuve

Chaque type d’épreuve dure un temps donné, et pas une minute de plus. Une heure, deux heures, trois heures, voire quatre heures au maximum : il faut savoir tirer bénéfice du temps imparti.

Gérer correctement son temps au cours d’un examen écrit n’est en soi, pas si compliqué… quand on a l’habitude. Il n’est cependant pas rare, lors des premiers examens, de terminer dans la précipitation, ce qui n’est ni agréable pour l’élève, ni bénéfique pour la qualité de la copie. Cette bonne gestion du temps vient avec le temps et l’expérience, mais aussi en appliquant une certaine rigueur et une bonne méthode.

Nos conseils pour l’organisation pendant l’examen

Avant tout, il est important de préparer correctement son sac la veille de l’examen, avec chaque chose à sa place et plusieurs stylos. Vous gagnerez du temps et vous éviterez tout stress en début d’épreuve.

Nous vous conseillons d’utiliser une montre pour gérer votre temps : posez-la sur votre table, pour pouvoir consulter l’heure en un coup d’œil.

Le déroulement d’un examen doit être divisé en plusieurs parties. Vous devrez organiser votre temps différemment selon le type d’épreuve et la matière. Une fois les énoncés distribués, prenez tout d’abord le temps de choisir votre sujet. Puis, notamment si vous choisissez une dissertation, lisez bien l’énoncé, analysez le sujet et notez vos premières idées pendant un petit quart d’heure.

Réservez ensuite une bonne partie de l’examen (au moins un tiers, si ce n’est la moitié) pour la rédaction de votre brouillon. Vous pourrez ensuite rédiger au propre, sans précipitation. N’oubliez pas de garder au moins 20 minutes pour la rédaction de la conclusion, une étape souvent précipitée. Pour les copies rédigées, type dissertations, commentaires et explications de textes, prenez soin de réserver cinq à dix minutes pour la relecture en fin d’épreuve.

Il est bon de se fixer des repères temporels : par exemple, dites-vous qu’à telle heure, vous devrez obligatoirement passer à la rédaction au propre, ou encore commencer votre conclusion. Ainsi, ne vous attardez pas sur une étape, même si vous ne l’avez pas complètement terminée. Passez à la suite, quitte à revenir plus tard dessus.

Gérer son temps lors d’un oral

 Lors d’un examen oral, par exemple celui du Brevet, l’oral de français ou encore le grand oral du bac, il est indispensable de maîtriser son temps. Il s’agit même d’une composante cruciale pour la notation. Ainsi, il faut être capable de parler pendant un temps donné, ni plus, ni moins : pour calibrer cela, pas de secrets, il faudra vous entraîner en amont en vous chronométrant.

Procrastination : que faire pour l’éviter ?

Nous sommes nombreux à avoir tendance à procrastiner, c’est-à-dire à tout remettre au lendemain. Pendant la scolarité, ceci peut cependant s’avérer très handicapant et créer du stress. Voici quelques conseils et pistes pour se sortir de la procrastination et travailler en temps et en heure.

Pourquoi je procrastine ?

Avant tout, n’oubliez pas de rester bienveillant avec vous-même. Il n’est pas possible de tout faire d’un coup : être indulgent vous fera du bien. Un des facteurs qui pousse à la procrastination est l’anxiété : il s’agit d’une stratégie d’évitement, par peur de rater ou encore par manque de confiance en soi. La procrastination peut aussi être encouragée par une mauvaise appréciation du temps.

Décomposer et fractionner les tâches

On procrastine souvent car l’ampleur de la tâche à réaliser nous semble écrasante. C’est pourquoi la lutte contre la procrastination passe en grande partie par la segmentation des tâches : découpez le travail à effectuer en plusieurs petites parties, et associez une échéance à chacune de ces micro tâches.

Faire des listes et des programmes

Vous pouvez créer des to-do-lists ou encore un planning. Ce faisant, pensez à classer vos devoirs et rendus par ordre de priorité. Allouez des plages horaires précises, ainsi qu’un temps donné, pour la réalisation de chaque travail, en surestimant plutôt le temps que cela vous prendra.

Travaille aux moments les plus propices

 Voici une notion importante. Il vous faudra identifier à quel moment de la journée vous êtes le plus productif, et travailler à ce moment-là — que cela soit tôt le matin, en fin d’après-midi ou tard le soir.

Se créer un rituel de travail

 Pour se mettre à travailler, il est nécessaire de le faire dans de bonnes conditions. Outre un environnement de travail calme, il peut être utile de se créer un petit rituel pour se mettre à travailler : se servir un café, lancer une chanson en particulier, ranger votre bureau… Cela pourra permettre de vous mettre le pied à l’étrier.

Demander l’aide de ses proches

 Enfin, vous pouvez demander à vos proches de vous aider à travailler, par exemple en vous rappelant l’heure qu’il est ou en vous encourageant. On a parfois besoin d’un coup de pouce venu de l’extérieur pour se motiver.

Méthodologie : nos conseils pour rédiger une dissertation

La dissertation est l’exercice par excellence des sciences humaines et sociales (philosophie, littérature, Histoire….). A partir du lycée et durant toutes les études supérieures, les élèves doivent régulièrement en rédiger. Maîtriser parfaitement la méthode et avoir les bons réflexes sont donc absolument indispensables : on vous partage nos conseils.

Le but d’une dissertation

Avant toute chose, il ne faut jamais perdre de vue l’objectif d’une dissertation, montrer que l’on a assimilé les cours mais aussi que l’on est capable de construire une réflexion sur la base de ses connaissances. La dissertation est un cheminement avec un commencement et une fin, qui suppose donc des liens logiques et des démonstrations.

Construire sa dissertation étape par étape

La première étape pour réussir sa dissertation consiste à décortiquer l’énoncé dans ses moindres détails. Il s’agira notamment de repérer les mots clés et de comprendre ce qu’implique le sujet, pour pouvoir dégager une problématique. N’hésitez pas à reformuler l’énoncé au brouillon avec vos propres mots. En ce début de réflexion, vous pouvez aussi coucher sur papier tout ce qui vous vient à l’esprit à ce moment-là. Cela peut aider à dégager des axes ainsi qu’à faire le tri dans ses idées.

Deuxième étape, toujours au brouillon : élaborer un plan à partir de la problématique à laquelle vous avez réfléchi. Vous cherchez alors des arguments pour expliquer et soutenir vos différents points. Vous pouvez associer ces arguments à des exemples, et les rassembler par idées et thèmes dans des paragraphes. Le plus souvent, un plan de dissertation est composé de trois parties, même s’il est possible d’opter pour deux. Plusieurs types de plans existent : thématique, analytique, comparatif, dialectique (le fameux « thèse, antithèse, synthèse »). Tout dépend du sujet, mais aussi de la matière.

Il n’est pas nécessaire de rédiger votre développement au brouillon — vous n’en aurez de toute façon pas le temps. Faire un plan détaillant chaque sous-partie, avec éventuellement les exemples à utiliser dans chacun des paragraphes, est suffisant. A la fin de chaque partie, n’oubliez pas de faire une transition vers la partie suivante.

Rédiger l’introduction et la conclusion

Une fois l’ensemble du plan détaillé mis au brouillon, et seulement à ce moment-là, vous pouvez vous penchez sur l’introduction. Vous rédigerez par contre de préférence celle-ci sur votre brouillon avant de la recopier au propre. Elle doit être particulièrement claire et organisée en quatre temps : présentation du contexte, reformulation du sujet, présentation de votre problématique, énoncé du plan.

Enfin, vous terminerez avec une conclusion, pour laquelle il faut bien penser à réserver du temps. Elle devra être plus courte que l’introduction, prendre la forme d’un bilan et proposer une ouverture.

Bien réviser avec une mémoire visuelle

Vous possédez une mémoire visuelle ? Il s’agit sans doute de l’une des plus répandues, avec la mémoire auditive. Il existe différentes manières de mieux mémoriser lorsque l’on a une mémoire visuelle : voici toutes nos astuces et nos conseils.

Quelques conseils pour exploiter au mieux une mémoire visuelle

Bonne nouvelle : une fois que vous avez déterminé quel type de mémoire vous possédiez, à vous de l’utiliser. Il n’est cependant pas rare de faire appel à plusieurs types de mémoires, pensez donc à les combiner.

Réaliser des fiches

Les fiches constituent un outil d’apprentissage tout indiqué pour les personnes visuelles, qui retiennent mieux par l’image. Le mieux est de pouvoir les faire à la main. Vous aurez ainsi votre propre écriture en tête, et pourrez insister sur tel ou tel mot, en l’écrivant plus gros, en le mettant en majuscule… etc.

 Si vous n’avez pas le choix, ou que vous préférez organiser vos cours sur ordinateur, nous vous conseillons alors de jouer sur les différentes polices et tailles de police, les couleurs de texte et de surlignage, ou encore la mise en gras ou l’italique.

Utiliser les couleurs

 Pour quelqu’un qui possède une mémoire visuelle, la couleur est un élément particulièrement important. Pensez tout d’abord à associer une couleur de fiche fixe à chaque matière. Ensuite, en réalisant ces fiches, vous pouvez jouer sur les couleurs du texte, du soulignage, et surtout du surlignage, pour mettre en valeur les points clés.

Réaliser des dessins, croquis et mind-mapping

En plus des fiches, pensez à donner « une forme » à vos cours. Vous pouvez donc, dans cet esprit, réaliser des tableaux, des schémas, des croquis, des frises chronologiques, des diagrammes, ou encore des cartes mentales… bref, tout ce qui peut vous aider à vous représenter l’information de manière visuelle et synthétique.

Accrocher vos cours au murs

 Si elle peut sembler étonnante, cette astuce est pourtant l’une des plus efficaces. En période de révision, notamment avant un examen, vous pouvez accrocher sur vos murs les informations importantes que vous souhaitez retenir : fiches, dates, frises, listes, formules, tableaux… soyez créatifs. L’idée est de les afficher à un endroit où vous êtes souvent, par exemple au-dessus de votre bureau… ou même dans les toilettes ! Cette méthode est particulièrement efficace si vous devez apprendre vos cours par cœur.

Les cours particuliers pour les étudiants

Les étudiants des filières d’études supérieures peuvent, eux aussi, se faire accompagner par un enseignant expérimenté. Le but ? Mettre en place un programme personnalisé pour apprendre à s’organiser, adopter de nouvelles méthodes de travail ou encore savoir aborder sereinement les partiels et les examens. Quels sont les différents cours proposés par Anacours aux étudiants du supérieur ?

 

Prendre ses marques pour les études supérieures

Le passage en première année d’études post-bac est un moment charnière. L’arrivée dans un nouvel établissement (voir une nouvelle ville !), l’intégration d’un nouveau système, de méthodes de travail et d’évaluations différentes demandent un temps d’adaptation. Les nouveaux étudiants peuvent parfois se sentir démunis face à tant de nouveautés, dans un système qui demande souvent une grande part d’autonomie et de prise en main personnelle.

C’est pourquoi les difficultés les plus importantes se concentrent principalement sur les deux premières années après le baccalauréat. Elles sont souvent liées à des problèmes de méthodes, d’organisation dans le travail personnel, mais aussi de lacunes provenant de fondamentaux mal assimilés. La charge de travail peut également considérablement augmenter, notamment en classe préparatoire. Selon les filières et les établissements (université, classes préparatoire, BTS, écoles privées…), les élèves doivent ainsi s’adapter rapidement aux différents fonctionnements. Or, tout ceci peut ainsi engendrer du stress, du découragement… voire un décrochage.

 

Un accompagnement sur-mesure avec Anacours

C’est pourquoi un accompagnement tout au long de l’année — ou bien ponctuel pour préparer certains examens — peut être particulièrement bénéfique. Les professeurs Anacours spécialisés sur les études post-bac sont en mesure d’accompagner les élèves afin d’approfondir les notions abordées en cours, les aider à s’organiser et à acquérir les bonnes méthodes. Ils peuvent notamment préparer les élèves aux colles de prépas ainsi qu’aux partiels à l’université.

Les enseignants recrutés ont tous l’expertise et la maîtrise des différentes filières d’études post-bac. Anacours est ainsi en mesure de vous proposer des enseignants qualifiés, tant sur les matières générales (mathématiques, littérature…) que spécialisées (économie, droit, comptabilité…). Un rythme de deux heures de cours par semaine est conseillé : votre conseiller pédagogique en agence pourra vous aider à faire le point sur cette question.

 

Votre professeur particulier sera ainsi en mesure de vous proposer un véritable tutorat et vous accompagner régulièrement pour aborder sereinement toutes les nouveautés des études supérieures.

Travail scolaire : aider son enfant à devenir autonome

S’il est indispensable d’encadrer et apporter son aide pour les devoirs en primaire, petit à petit, l’acquisition de l’autonomie pour le travail scolaire doit se faire. Alors comment aider au mieux son enfant pour qu’il apprenne à travailler seul ?

Comment aider son enfant à être autonome dans ses devoirs ?

Plus les années passent, plus l’élève devra fournir de travail personnel. Dès la 6e, il est important de donner des clés à son enfant pour qu’il sache travailler seul, aussi bien à la maison qu’en heure de permanence. C’est donc à partir de la fin de l’école élémentaire qu’il faut encourager son enfant à gagner en indépendance, en lui donnant certaines méthodes. Il doit par exemple apprendre qu’il est bon de revoir la leçon du jour avant de se lancer dans les exercices demandés, ou encore qu’il est utile de refaire des exercices qu’il n’avait pas réussi à réaliser auparavant.

A partir du CM2 ou de la 6e, on peut aussi lui apprendre à s’avancer dans le cas où son professeur donne les devoirs à l’avance. De surcroit, en lui enseignant comment être organisé, comment bien tenir son cahier de texte ou son agenda, on lui donne des clés pour mieux travailler seul. Il faut aussi lui montrer qu’il apprend pour lui, pour son avenir, que l’essentiel est d’avoir bien compris.

Les bienfaits de travailler seul

Un enfant autonome pour ses devoirs apprend plus vite, et se construit sa propre façon de travailler, qui est la plus efficace pour lui.

Bien entendu, l’acquisition de l’autonomie de travail est à appliquer avec discernement. Les très bons élèves ont rarement besoin de l’aide de leur parents. A contrario, les élèves qui rencontrent des difficultés à l’école ont toujours besoin d’un soutien bienveillant à la maison, voire de cours particuliers ou d’aide aux devoirs. Rien n’interdit un coup de pouce de temps en temps !

Ce qui est pénalisant pour l’enfant serait un encadrement trop strict et permanent de la part des parents, de même que ceux qui font le travail à la place de leurs enfants. En outre, l’aide excessive des parents peut poser problème aux enfants et adolescents : le parent qui veut aider apporte un autre modèle que ce qui se fait à l’école ou au collège. Ainsi, l’implication du parent, qui croit pourtant bien faire, tend souvent à brouiller les choses dans la tête de l’enfant, plutôt qu’à les éclaircir.

A quel moment commencer ses révisions pour le bac ?

Même si le nouveau baccalauréat fait la part belle au contrôle continu, un certain nombre d’épreuves écrites et orales demeurent. Les lycéens doivent ainsi se préparer en amont pour réussir au mieux. Face aux élèves qui s’inquiètent de savoir quel est le meilleur moment pour se mettre à réviser sérieusement, Anacours répond en toute transparence.

Quelles sont les épreuves terminales pour le bac 2022 ?

En classe de première, les élèves passent toujours les épreuves anticipées de français (coefficient 5 pour l’écrit et 5 pour l’oral) en juin.

L’année suivante, en terminale, les deux épreuves de spécialités ont lieu en mars (coefficient 16 chacune) puis, en juin, se tient l’épreuve historique de philosophie (coefficient 8 en voie générale, 4 en voie technologique). Enfin, les élèves se soumettent également au fameux grand oral (coefficient 10 en voie générale et 14 en voie technologique).

Organiser ses révisions sur l’année

Il est préférable d’élaborer un planning de révisions pour les épreuves du baccalauréat, quelques mois avant le début des épreuves écrites. Mais quand faut-il s’y mettre exactement ? La réponse la plus évidente est : le plus tôt possible.

Dans la pratique, on conseillera de se mettre sérieusement aux révisions des épreuves du mois de juin (épreuves anticipées de français, philo, grand oral) aux alentours des vacances de printemps, donc en avril. Cela vous permettra de créer un planning de révision et de vous organiser tranquillement sur plusieurs semaines, évitant ainsi les révisions de dernières minutes dans la panique. Pour les épreuves de spécialités qui ont elles lieu au mois de mars, il est primordial d’avoir travaillé régulièrement. Il est bon de se mettre à réviser sérieusement après les vacances de Noël.

Bien entendu, en travaillant vos cours tout au long de l’année, vous vous assurez d’alléger vos révisions de fin d’année, la majorité des connaissances étant déjà intégrées. En outre, en débutant vos révisions assez tôt, vous avez le temps d’étaler votre programme : au début, vous reviendrez sur les notions vues en début d’année, et progresserez au fur et à mesure.

Enfin, il est crucial d’être au point sur la méthodologie assez tôt dans l’année, de manière à justement avoir l’occasion de perfectionner sa technique petit à petit.